Ooh La La Paris > Jocelyne N. Ferrandeau

nom complet ▲ Jocelyne Nathalie Ferrandeau. lieu de naissance ▲ Paris. âge ▲ 21 ans. nationalité ▲ Francçaise et Américaine. diplômes, études ▲ Étude de journalisme. métier ▲ Sera journaliste. statut matrimonial ▲ Célibataire. orientation sexuelle ▲ Hétérosexuelle. situation financière ▲ Aisée. idole(s) de vie ▲ Elle n'en a pas.  nombre d'amis facebook ▲ N'a pas le temps de se pavaner sur les réseaux sociaux. moyen de déplacement ▲ Voiture personnelle, parfois taxi ou métro (bien qu'elle ai interdiction de le prendre). groupe ▲ gagnants perdants. avatar ▲ Sasha Pieterse. crédits ▲ Merci à Tumblr pour les nombreux gifs que j'ai pu y trouver.

ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up.  sa réaction? ▲

J'essaie de le calmer tout en restant calme moi-même, puis enfin, lorsqu'il a un petit moment d'inattention et que je repère le bon moment je lui fais une prise que je connais grâce à mes 15 ans de Judo.

ton personnage se retrouve en plein milieu d'un énorme open house où il ne connait qu'une seule et unique personne.  alcool à volonté, musique beaucoup trop forte, etcétéra.  sa réaction? ▲  

Je parlerais un peu avec la personne que je connais, s'il y a affinité bien sûr. Puis en suite je continuerais de m'amuser seule. Vous avez, même si la plus part des gens sont toujours accompagnés lorsqu'ils vont en boite, lorsque tu es seul sur la piste de danse, y a toujours des gens qui viennent te taper la bavette ou des mecs pour draguer les nanas (et inversement). Et bien dans un open house, les gens sont là pour faire la fête, c'est le même fonctionnement qu'un projet x, tu connais pas les gens, mais tu t'en fout, tu bois, tu danses et tu parles aux autres. Quoi qu'il en soit, j'éviterais de finir saoule, car s'il y a personne pour me ramener, c'est plutôt risqué de s'endormir là-bas.

ton personnage est en couple et l'occasion de tromper son/sa partenaire -en ayant l'assurance que personne ne le découvrira un jour- se présente à lui.  sa réaction? sa décision?  ▲  

Pour rien au monde je tromperais mon copain ! Peu importe qui j'ai en face de de moi, si j'aime vraiment mon copain je serais fidèle. Pour moi, à partir du moment où on commence à s'intéresser à quelqu'un d'autre, c'est que l'amour n'est plus vraiment sincère. Quand on aime une personne on ne voit qu'elle ! Et de toute façon je ne pourrais pas vivre avec cela sur la conscience

île déserte.  pas de portable, pas d'ordinateur, pas d'amis, pas d'amoureux, pas vraiment de divertissement, et le tout pendant une semaine.  sa réaction?  se plaindre, se débrouiller? ▲  

J'ai toujours rêvée d'être scout et même si je n'ai jamais appris, ça serait une bonne occasion de tester comment je me débrouille pour survivre. En premier lieu je me fabriquerais un abris et une couchette suffisamment au-dessus du sol pour éviter certains insectes venimeux. Ensuite je me dépêcherai de chercher à manger avant la fin de la nuit. Ensuite je parcourrais l'île à la recherche de d'autres personnes tout en restant prudente et si je ne trouve personne je chercherais une autre Terre à l'horizon. S'il n'y en a pas je me débrouillerais pour cherche pierre, feuille... qui me permettrait d'écrire un message de secours sur une surface déserte et plate.


ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean).  sa réaction? ▲  

Je prendrais l'initiative de l'emmener chez le vétérinaire vérifier sa santé et ensuite, soit je le prendrais chez moi, soit j'essayerais de la donner à quelqu'un de fiable.

digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule.  deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲

J'aiderais en premier lieu la vieille dame qui se trouve à côté de moi au risque de perdre ma vie. Il y a peu de chance que cela arrive, je ne prend jamais le bateau.

On peut penser que j'ai une vie compliquée, où qu'il y a bien pire..Tout dépend de la personne qui juge. Pour ma part, je pense que je n'ai pas eu de la chance partout, mais il y a pire.
Il y a pire que de vivre dans la capitale de la mode, mais d'avoir quelques petits problèmes respiratoire causés par les milliers de pots d'échappements qui y passent chaque jour. Bien sûr, j'ai un appartement pour moi toute seule avec vu sur la Tour Eiffel, alors que je n'ai que 21 ans. Pendant mon temps libre je peux me pavaner avenue des Champs-Élysées, à rentrer dans différentes boutiques de luxes et à en ressortir les mains pleines parce que mon argent me le permet, tandis que d'autres se trouvent eux aussi, là, mais par terre, avec juste une couette toute trouée sur eux et avec la main tendue attendant qu'un passant est pitié d'eux et qu'il leur donne une pièce qui leur permette de s'acheter une petite bouteille d'alcool qui leur ferait oublier leurs malheurs.
Puis il y a mieux, même beaucoup mieux que de perdre ses parents à l'âge de 16 ans dans un accident d'avion, et de devoir aller vivre chez son oncle et sa tante paternelle qui sont en dépression 24/24 et 7j/7. Et de devoir être entre eux et sa cousine qui veut qu'on la couvre lorsqu'elle sort en boite sans autorisation au préalable, et qui finit en fait par fuguer.


Mon père n'a jamais été très proche de sa sœur qui habite à Bordeaux actuellement et depuis un certain temps. Tandis qu'avec son frère, ils ont été longuement très proches. Lorsque j'étais petite, il n'était pas rare que nous allions passer du bon temps dans sa maison qui se trouve elle aussi dans la capitale. Mes parents discutaient avec mon oncle et ma tante et moi j’allais jouer avec mon cousin et ma cousine. Surtout mon cousin car nous avions le même âge, nous étions très proches. Tout se passait pour le mieux, les relations étaient très bonnes.
Mon père et son frère avaient montés une entreprise familial. Lorsque celle-ci rencontra quelques petits problèmes, on pût constater quelques petites tensions entre les deux jeunes hommes. Ils ne réussirent pas à la remonter et une fois que celle-ci fût faillite quelques temps après, un gros conflits naissait entre les deux jeunes hommes. Je n'ai jamais trop sû la raison pour laquelle il y eu un aussi gros conflit entre les deux frères anciennement si proches, mais j'ai toujours pensée que ça devait être une affaire d'argent et c'était sans doute ça. On ne mélange pas argent et famille.
Depuis ce conflit, on a pu faire tout ce que l'on voulait, ils ne se sont plus jamais comportés comme avant l'un envers l'autre.
Après le décès de mes parents, j'ai dû aller vivre chez eux le peu de temps qu'il me restait avant d'atteindre la majorité et de pouvoir me payer mon propre appartement. Mon oncle est peu à peu tombé dans la spirale de la dépression. Lui qui avait toujours le sourire, c'est certainement due à la mort de mon père, il s'en veut d'avoir entretenu cette mauvaise relation jusqu'à sa mort, De ne pas avoir pû rigoler avec lui dans les derniers instants qu'il pouvait passer avec lui. Peu à peu la famille s'est dégradée, de part la fugue de ma cousine et le départ de mon cousin à sa majorité.
De ce côté là, il est impossible de voir naître un repas de famille.
Et la famille du côté de ma mère, nous la voyons très peu car ils habitent aux États-Unis, là où elle aussi est née.


Contre toutes les injustices tels que les personnes sans domicile fixe, mourantes de faim, tuaient par des fous et dont les politiques sont responsable, je veux faire quelque chose. Je veux que m'a vie est servit à autre chose qu'à consommer de la nourriture et de l'eau utile pour d'autres et à laisser pour seul souvenir quelques traces de moi. Les politiques ont le pouvoir de changer les choses sans l'avis du peuple qui, lui, subit bien plus toutes les failles de la société, et bien les journalistes ont eux le pouvoir de faire agir le peuple. C'est pourquoi j'emprunte des études de journaliste et que je veux donner l'argent que j'aurais récoltée grâce à toutes mes actions effectuées au cours de ma vie à l'association que je créerai. Utiliser son métier pour faire réagir les gens, est-ce faire justice sois même ?
En attendant, je préfère apporter à manger aux personnes sans domicile fixe ou leur apporter des couvertures, plutôt que de leur abîmer leur santé avec de l'argent qui utiliseront à mauvais escient.