50 things I'm hidding from you > Amy-Camila C. Gorgorió (Lucy Hale)

Je suis née le 2 juillet 1994 à Barcelone, en Espagne. J'y est vécue durant toute mon enfance, jusqu'à mes 19 ans. Là bas il faisait chaud, beau, j'avais mes amis, le lycée et puis y avait Amaury. Amaury c'est le mec plus drôle de la Terre, tu peux tout lui dire, il rigole pour un rien, ses blagues sont excellentes. Avec tu peux que te sentir bien. Puis ses yeux d'un bleu/vert où il est facile de s'y noyer, ses cheveux brun en bataille, et puis son corps qui est à tomber contre lequel j'aimais me blottir. Ses lèvres douce sur lesquelles j'aimais placer ma bouche. Amaury c'était tout, je n'ai jamais connu de mec comme lui, qui est aussi amène de comprendre les femmes que les hommes, ça a été mon premier amour et le seul pour qui mon amour était vraiment sincère. Il m'obsède.
Et il y avait Francisca, mon amie de toujours, la meilleure, je la considérais comme ma sœur. Bien élevé, toujours présentable et convenable en compagnie des adultes, mais complètement différente lorsque nous nous trouvions toutes les deux, nous étions nous même. Mes parents l'appréciaient beaucoup, jusqu'à l'arrivée d'Amaury pour qui ils éprouvaient une haine inexplicable.
Pourquoi ? Parce que ce n'était pas le garçon qu'ils avaient imaginé pour mon futur, c'est le genre de garçon pour lequel je n'avais jamais craqué avant et ils savaient que ce changement soudain voulait dire que je l'appréciais beaucoup, beaucoup trop même. Que c'était peut-être même l'homme de ma vie. Alors ils ont tout fait pour nous séparé.
Avant de le connaître, j'étais une jeune fille raisonnable, qui ne se couchait jamais trop tard à part lors d'une soirée, qui faisait toujours ses devoirs et apprenait toujours ses leçons. Je n'avais encore jamais été collé et n'avais jamais séché les cours. Je répondais peu à mes parents et je ne leur désobéissais jamais, ou du moins très rarement car je savais que la punition allait être dure.
Quand j'ai commencé à fréquenter Amaury, j'ai désobéi de plus en plus, mais quand je suis vraiment sortie avec lui, je n'écoutais plus rien, je séchais les cours pour pouvoir passer la journée en sa compagnie, je n'apprenais plus vraiment mes cours, et de toute façon je savais que j'avais des facilités, je me suis aussi mise à boire et fumer des pétards, même si Amaury n'aimait pas que je me fasse du mal. En général je ne faisais dans son dos avec d'autres amis. En fait, je m'étais enfin trouvée, j'avais trouvé la personne que je voulais être et que je devais être. Mes parents avaient voulu me couvrir de la réalité, mais j'avais quand même réussie à trouver une porte de secours afin de pouvoir échapper à leurs griffes.
J'ai connu Amaury grâce à Francisca. Elle a elle même rencontré Amaury il y a bien longtemps, alors que son cousin était son meilleur ami. Ils sont d'ailleurs sorti ensembles au début de notre relation, avec Amaury. J'avais déjà vu à plusieurs reprise le cousin d'Amaury lorsque j'allais chez Francisca et qu'il était chez elle. Puis une fois j'ai accompagné Francisca à la fête de son meilleur ami et il y avait Amaury. Je le trouvais stupide et inintéressant. Puis je suis revenue avec Francisca, je devais dormir chez elle, car mes parents ne m'auraient jamais laissé rentrer si tard, alors je leur avais dit que je passais la nuit chez elle. Là, le meilleur ami de Francisca est rentré avec nous, mais quelques minutes après notre arrivée chez elle, c'est un bruit de moto que j'ai entendu et devinait qui c'était ? Amaury ! Je n'étais pas très heureuse de le voir, mais, bien qu'il m'ait taquiné au début et que je l'ai mal pris, au fur et à mesure de la soirée, nous nous sommes bien entendu et nous rigolions. Francisca n'avait pas assez de chambres pour nous permettre de dormir seul. Alors logiquement nous aurions dû dormir toutes les deux et eux deux ensembles, mais le destin en avant décidé autrement. Francisca et son meilleur ami voulaient dormir ensembles (sûrement pour faire vous savez quoi), alors je dû dormir avec Amaury. Normalement, toutes personnes normales se seraient contenté de dormir, mais nous nous avions parlé. Parler, rire, parler, rire et encore parler...
La plus part des filles attendent de trouver le bon garçon, d'attendre d'avoir confiance en lui et de se sentir bien en sa compagnie, mais moi je le connaissais depuis seulement quelques heures et j'avais confiance en lui, je savais que c'était le bon moment. Alors je l'ai fais, on l'a fais, et je ne regrette pas. A partir de ce moment, nous ne nous sommes pas tout de suite mis ensembles, on a au moins attendu les vacances et après ça nous nous sommes mis ensembles. Puis on ne sait jamais quitté, du moins jusqu'à mes 19 ans. Mes parents ont tout fait pour nous séparer et j'ai craqué. J'ai décidé de tout plaquer pour partir m'installer autre part. Je suis allé aux États-Unis, dans la petit village de Charleston.
A partir de là, j'ai perdu tout contact avec mes anciens amis et ma famille, si ce n'est ma tante, celle qui habite à Charleston, mais avec elle je ne crains, elle n'a pas plus aucun contact avec sa famille, elle aussi a voulue s'éloigner de sa sœur, ma mère.
Amaury ne m'a sans doute jamais pardonné de l'avoir lâché du jour au lendemain, il n'a jamais répondu à mes coups de fils, à mes mails et de manière générale à toutes les relances que j'ai pu lui passer. Cette fois là je l'aimais, et c'était sincère.. Mais j'ai été puni pour tous les pêchés que j'ai commis, je l'ai perdu. Il m'arrive de regretter mon acte, mais e passé c'est le passé, tel était mon destin. J'ai peut-être bien fais de partir, même si j'aurais aimé une meilleure fin pour nous deux, mais sans ça, je n'aurais jamais été capable de tout plaquer et puis je n'aurais pas la vie que j'ai maintenant. Je suis tranquille, personne ne me reproche rien et je n'ai plus cette pression que me collaient mes parents sur le dos pour toujours atteindre le meilleur de mes performances. En fait je vis.
Et puis, des garçons il y en a pleins. On dit que le temps ai le meilleur antidote, et je pense que c'est vrai. Alors je sors, je me balade, je vais en ville avec mes amis, je bois (mais pas trop quand même), je fais le fête et j'ai même commencé à fréquenter un garçon que j'apprécie de plus en plus jour en jour.
Je verrai bien ce que le futur me réserve, an attendant, patience, avec le temps on se rend compte que le destin fait toujours en sorte d'arranger les choses.