Présentation → Thunder Love (Jaelyn-Alexia D.D. Lancer → Leighyton Meester)

Jaelyn est née un beau jour d'été en France. Le 30 juillet 1993 à Paris, plus précisément. Ma mère était Française tandis que mon père était anglais. Nous ne sommes pas resté très longtemps en France, nous sommes retourné en Angleterre juste après ma naissance. Mes parents c'étaient rencontrés il y 3 ans de cela et ce fût le vrai coup de foudre. Alors que mon père allé à Paris pour un voyage d'affaire, en arrivant à l'accueil de la banque où il devait assister à sa réunion il vit une femme s'énerver contre la secrétaire. Celle-ci l'envoya voir le patron s'il elle n'était pas satisfaite de ces services. N'importe qui aurait rebroussé chemin, mais pas ma mère, elle n'était pas de ce genre. Malheureusement le patron était en réunion. Mais ça ne l'empêcha pas d'attendre le temps qu'il fallait pour avoir ce qu'elle voulait. Ma mère était une femme de caractère. Le directeur là prit dans son bureau aussitôt sorti. Mon père, Collin se souvient encore de ce que lui a dit le directeur une fois que la femme c'était disposé « Si je puis te donner un conseil jeune homme, ne prends jamais une femme comme celle-ci. Elle te mènera la vie dure ». Mais bizarrement, mon père en pensait tout autre chose. C'est lorsque celle-ci revint 1 semaine après qu'il lui lança, pendant qu'elle attendait dans la salle d'attente « C'est quelle a du caractère cette dame là ». Elle le fixa d'un regard noir et lui répondit « Vous avez quelque chose à me proposer jeune homme ? ». Sous entendu qu'elle était prête à coucher avec mon père pour qu'il lui règle le problème. Il s'empressa de là faire rentrer dans son bureau. Et là ils couchèrent ensembles et je vis le jour p mois plus tard, inutile de vous préciser que ça se passa point comme ceci. Le problème n'était pas aussi simple qu'il pouvait y paraître. Cette jeune femme nommé Evelyn Boisser était en plein court de divorce. Son mari était un riche homme d'affaire qui posséder plusieurs maisons un peu partout en France, ainsi que des hôpitaux. Il était chirurgien. Leur histoire avait tenu 5 ans et avait finalement fini par dégringoler une fois qu'il avait apprit et annoncé à sa femme qu'il était stérile. Ce qui avait le plus froissé Evelyn était le fait qu'il est attendu 1 ans avant de lui dire. Il lui avait seulement dit une fois qu'elle avait vraiment envie et était prête à avoir un enfant. Quoi qu'il en soit, elle voulait sa part du bien. Mais celui-ci avait bloqué la part qu'elle devait touché dans tout ce qu'elle avait fait et acheté. Elle venait réclamer son argent à la banque, mais aussi s'expliquer.
Mon père ne coucha pas avec elle, sans doute devait-il trouver ça irrespectueux en vers les femmes. C'est alors que quelques jours plus tard il l’aperçu dans un café, alors qu'il venait décompresser après le travail. Il s'approcha doucement d'elle affin de ne pas lui faire peur, et au moment où il allait là saluer elle lui lança d'un ton sec « Encore vous ? Je ne vous ai pourtant pas donné mon emploi du temps, vous me suivez ? ». Au bout de quelques minutes de silence elle lui lança brusquement « Hum non, laissez-moi réfléchir ; Vous avez changé d'avis et vous venez maintenant me demander votre part du marché ? ». Il la laissa parler et la contempla pendant quelle parlait. Il la regarder articuler ses syllabes une à une et finit par lancer. « Je voulais juste que vous sachiez que l'affaire est réglé. Mon ceci est de toute façon oublié, nous sommes parti du mauvais pied. Je m'appelle Collin Lanccer et je suis pistonneur d'affaire à l'étranger ». Un sourire se dessina sur le visage de celle-ci, puis elle rétorqua. « Et bien jeune homme, vous ne m'avais pas l'air comme tous les autres hommes. Vous paraissez plus sûr de vous ; elle laissa passer une minute de silence est repris, Enfin donc ne croyez pas que c'est un compliment. Ce n'est en vain pas de suite gagné pour vous ». Sur ce, elle se leva et laissa un billet de 20 dollars, que le serveur s'empressa de prendre, sur le guichet et parti. Dans son esprit, c'était une façon bizarre d’interrompre une conversation, mais il prit ça comme un au revoir et non un adieu.