Présentation → Hollywood People (Megan Fox)

Marie & Grace

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Aujourd'hui était une journée particulièrement ensoleillé, ça changeais de d'habitude. Qui disait soleil à New-York, voulait dire plage avec Marie toute la journée. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle voulait m'inviter à la plage. Depuis qu'on c'était rencontré, elle, et moi passions notre temps ensembles à inventer les délires les plus inimaginables qu'il existe. C'est aussi pour ça que les gens nous dévisageait dans la rue. Mais aussi nous avions chacune un métier ou il n'est pas permis de rire tout les trois quatres matin, c'est donc pour ça que quand nous ne travaillions pas, nous sortons en ville toutes les deux pour se taper des délires et rigoler à pleine voix dans les rues de New-York. Mon agent ne veut pas que je fasse ça. D'après ça pourrait attirer l'attention sur moi dans les rues, et que les gens pensent que je suis une fille qui aime attirer l'attention et qui est prétentieuse (ce que je ne suis pas). Et que par conséquent, je perdrais du publique. Quoi qu'il en soit, j'avais le droit de passer du bon temps à rire une fois de temps en temps. Même si l'été approchait à grand pas et qu'il faisait de plus en plus soleil, nos petites apparitions se faisaient de plus en plus fréquemment.

Il était pas tard mais si nous voulions profiter de notre journée autant que l'on en avait l'envie, il fallait se dépêcher. Je passa donc à la salle de bain pour prendre ma douche et m'habiller par la suite. Je ne me maquilla pas beaucoup, ce n'était pas utile car nous allions à la plage donc le sable et l'eau de mer aller me l'enlever, ou me faire des traces noires sur le visage. J'alla dans ma cuisine me préparer mon repas du midi. Une petite salade avec Tomate, Concombre, Mozzarella et salade. Je m'en léché déjà les babines. Je n'avais même pas pris de petit déjeuner. Il fallait aussi dire que je ne me réveillé pas souvent aussi tôt et que je n'avais donc pas l'habitude de manger à cette heure là.
Je venais de recevoir un sms de Marie qui disait qu'on devait se rejoindre à 14h à la plage. Cela reculé de tout ce que j'avais préparé. Je décida donc d'aller faire un peu de shopping l'histoire de me trouver quelques chose à mettre pour aller la voir. Je parcourue des yeux toutes les vitrines, et je ne trouva mon bonheur dans aucunes d'elles. Après mon petit tour, je passa au studio voir mon agent. celui-ci me donna mon emploi du temps du lendemain. La journée aller être chargé, même très chargé. Raison de plus pour m'amuser aujourd'hui.
Je décida de rentrer à la maison pour manger, il allait bientôt être l'heur d'y aller.

Arrivé à la maison, je mangeais ma salade. Voyant l'heure, je me précipitais dans mon dressing pour enfiler mon maillot de bain - bleu turquoise à deux pièce - je pris ma serviette au passage. Celle-ci était décoré d'un drapeau américain sur toute sa surface. Je mis mais chaussure et partie en route pour la plage. je me fis la réflexion que je n'avais pas vu Marie depuis un long moment et que j'étais enchantée à l'idée de pouvoir la revoir. Nous et nos délires que tout le monde entends.

J'arrivé à la plage quand je vis Marie allongé sur le seul. Je la reconnue car nous nous mettions toujours à la même place. Quand elle me vit, je fut transpercé par ses yeux qui étaient de la même couleur que l'eau. Avec ses yeux et son visage d'ange, je me demande comment elle pouvait faire pour ne pas avoir de copain. En plus c'était une pâte, on pouvait lui demander tout ce que nous voulions elle l'aurait fait pour rendre service, même si elle avait parfois son caractère qui venait tout dominer. Elle avait bien le droit de s'exprimer et dire ce qu'elle pensait après tout. Et elle ne se gêné pas pour le faire !
Marie était vraiment très curieuse, mais ça ne me gênait pas. Après tout on était meilleures amies, les meilleures amies sont là pour tout ce raconter. Elle se mit en position bronzage est me posa tout un tas de questions, à la suite sans me laisser un petit temps de réponse « Alors tu vas bien ? Quoi de beau dans ta vie depuis le temps ? Oh fait t'es au courant qu'il y a une fête vendredi ? A SoHo, a côté des galeries d'art ? ». Je n'étais pas au courant pour la fête, je ne savais même pas qui l'avait organisé. Quoi qu'il en soit j'avais déjà quelques chose de prévu vendredi. Une petite soirée en namoureux . Marie n'était pas très bronzé, et je savais qu'elle avait envie plus que tout que ça peau prenne un peu de couleur. Il fallait avouer qu'elle n'était pas très bronzé. Moi non plus d'ailleurs, mais c'était juste que je n'aimais pas trop m'exposer longtemps, pas assez longtemps pour bronzer du moins.

Soudain Marie se leva d'un bon et me tira par les deux mains. Je n'avais pas très envie d'y aller. En plus la mer devait être froide. J'avais une journée assez chargé le lendemain, je ne voulais donc pas être malade avant celui-ci. Ma foi, je me leva quand même. C'était comme si mes jambes me poussaient à me lever contre mon gré. En même temps je pouvais bien en profité, ce n'était pas tout le temps qu'il y avait du soleil ici et puis je pouvais bien faire plaisir à Marie et ne pas faire mon égoïste. Bien que je ne l'étais pas tellement.
Elle s'était mouillée tellement vite que je n'avais même pas eut le temps de la voir. Elle avait dût plongé sous l'eau car je ne là voyait plus. En attendant qu'elle refasse surface, je commença à tremper mes pieds dans l'eau. C'est comme si je venais de me prendre une claque, celle-ci était plus glacé que jamais. Soudain je sentis des mains venant des profondeurs marine m'attraper les jambes, je laissa échapper un cris de peur. C'était évidemment Marie. Elle me prit dans ses bras. Je me demandais comment celle-ci pouvait me porter. Je n'étais quand même plus une enfant de 10 ans, je pesais quand même mon poids. Quoi qu'il en soit, elle n'avait pas l'aire gêné par ça, elle me portait même avec facilité. J'avais compris son manège, elle m'emmenait à un endroit ou il y avait assez d'eau pour qu'il ne me reste plus qu'à me mouiller entièrement. Je finis donc par lui céder. Celle-ci se mit à m'éclabousser en rigolant, une fois que je fus mouillé entièrement. « Alors, elle n'est pas belle la vie ? T'es toute mignonne les cheveux mouillés et en maillot de bain. » me dit-elle. Nous continuâmes à nous exclamer et à nous éclabousser en rigolant. Mais j'étais tracasser parce que j'allais devoir faire le lendemain. Et cela dût se voir sur mon visage car celle-ci changea l'expression de son visage. L'air un petit peu interrogateur. Il fallait que je lui dise, mais je ne savais pas comment m'y prendre. Je lui expliqua que j'avais un rendez-vous avec un réalisateur très réputé à Los Angeles le lendemain et que j'allais sans doute devoir déménager. Mon agent m'avait bien dit qu'une offre comme celle-ci ne se présente qu'une fois dans notre vie et que celle-ci était là et ne pouvait pas être décalé. C'était maintenant et je ne pouvais rien changer. Bien évidemment j'avais envie de la saisir, mais ce n'était pas si facile. J'avais vécu pendant des années ici. Je m'étais fait à "la pomme géante" alias New-York, j'avais des amis ici, un travaille sans oublier mes petites habitudes. Et puis un autre problème s'imposait. Et celui-ci je ne savais pas comment lui annoncer. Quelques mots sortir de ma bouche « Je l'aime, je ne peux pas... » et je fondis en larmes. Il y avait Gabriel, je l'aimais plus que tout et je ne pouvais pas le laisser ici. Il avait un travail et lui ne pouvais pas le quitter comme ça lui chantait.

Marie & Grace

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Aujourd'hui était une journée particulièrement ensoleillé, ça changeais de d'habitude. Qui disait soleil à New-York, voulait dire plage avec Marie toute la journée. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle voulait m'inviter à la plage. Depuis qu'on c'était rencontré, elle, et moi passions notre temps ensembles à inventer les délires les plus inimaginables qu'il existe. C'est aussi pour ça que les gens nous dévisageait dans la rue. Mais aussi nous avions chacune un métier ou il n'est pas permis de rire tout les trois quatres matin, c'est donc pour ça que quand nous ne travaillions pas, nous sortons en ville toutes les deux pour se taper des délires et rigoler à pleine voix dans les rues de New-York. Mon agent ne veut pas que je fasse ça. D'après ça pourrait attirer l'attention sur moi dans les rues, et que les gens pensent que je suis une fille qui aime attirer l'attention et qui est prétentieuse (ce que je ne suis pas). Et que par conséquent, je perdrais du publique. Quoi qu'il en soit, j'avais le droit de passer du bon temps à rire une fois de temps en temps. Même si l'été approchait à grand pas et qu'il faisait de plus en plus soleil, nos petites apparitions se faisaient de plus en plus fréquemment.

Il était pas tard mais si nous voulions profiter de notre journée autant que l'on en avait l'envie, il fallait se dépêcher. Je passa donc à la salle de bain pour prendre ma douche et m'habiller par la suite. Je ne me maquilla pas beaucoup, ce n'était pas utile car nous allions à la plage donc le sable et l'eau de mer aller me l'enlever, ou me faire des traces noires sur le visage. J'alla dans ma cuisine me préparer mon repas du midi. Une petite salade avec Tomate, Concombre, Mozzarella et salade. Je m'en léché déjà les babines. Je n'avais même pas pris de petit déjeuner. Il fallait aussi dire que je ne me réveillé pas souvent aussi tôt et que je n'avais donc pas l'habitude de manger à cette heure là.
Je venais de recevoir un sms de Marie qui disait qu'on devait se rejoindre à 14h à la plage. Cela reculé de tout ce que j'avais préparé. Je décida donc d'aller faire un peu de shopping l'histoire de me trouver quelques chose à mettre pour aller la voir. Je parcourue des yeux toutes les vitrines, et je ne trouva mon bonheur dans aucunes d'elles. Après mon petit tour, je passa au studio voir mon agent. celui-ci me donna mon emploi du temps du lendemain. La journée aller être chargé, même très chargé. Raison de plus pour m'amuser aujourd'hui.
Je décida de rentrer à la maison pour manger, il allait bientôt être l'heur d'y aller.

Arrivé à la maison, je mangeais ma salade. Voyant l'heure, je me précipitais dans mon dressing pour enfiler mon maillot de bain - bleu turquoise à deux pièce - je pris ma serviette au passage. Celle-ci était décoré d'un drapeau américain sur toute sa surface. Je mis mais chaussure et partie en route pour la plage. je me fis la réflexion que je n'avais pas vu Marie depuis un long moment et que j'étais enchantée à l'idée de pouvoir la revoir. Nous et nos délires que tout le monde entends.

J'arrivé à la plage quand je vis Marie allongé sur le seul. Je la reconnue car nous nous mettions toujours à la même place. Quand elle me vit, je fut transpercé par ses yeux qui étaient de la même couleur que l'eau. Avec ses yeux et son visage d'ange, je me demande comment elle pouvait faire pour ne pas avoir de copain. En plus c'était une pâte, on pouvait lui demander tout ce que nous voulions elle l'aurait fait pour rendre service, même si elle avait parfois son caractère qui venait tout dominer. Elle avait bien le droit de s'exprimer et dire ce qu'elle pensait après tout. Et elle ne se gêné pas pour le faire !
Marie était vraiment très curieuse, mais ça ne me gênait pas. Après tout on était meilleures amies, les meilleures amies sont là pour tout ce raconter. Elle se mit en position bronzage est me posa tout un tas de questions, à la suite sans me laisser un petit temps de réponse « Alors tu vas bien ? Quoi de beau dans ta vie depuis le temps ? Oh fait t'es au courant qu'il y a une fête vendredi ? A SoHo, a côté des galeries d'art ? ». Je n'étais pas au courant pour la fête, je ne savais même pas qui l'avait organisé. Quoi qu'il en soit j'avais déjà quelques chose de prévu vendredi. Une petite soirée en namoureux . Marie n'était pas très bronzé, et je savais qu'elle avait envie plus que tout que ça peau prenne un peu de couleur. Il fallait avouer qu'elle n'était pas très bronzé. Moi non plus d'ailleurs, mais c'était juste que je n'aimais pas trop m'exposer longtemps, pas assez longtemps pour bronzer du moins.

Soudain Marie se leva d'un bon et me tira par les deux mains. Je n'avais pas très envie d'y aller. En plus la mer devait être froide. J'avais une journée assez chargé le lendemain, je ne voulais donc pas être malade avant celui-ci. Ma foi, je me leva quand même. C'était comme si mes jambes me poussaient à me lever contre mon gré. En même temps je pouvais bien en profité, ce n'était pas tout le temps qu'il y avait du soleil ici et puis je pouvais bien faire plaisir à Marie et ne pas faire mon égoïste. Bien que je ne l'étais pas tellement.
Elle s'était mouillée tellement vite que je n'avais même pas eut le temps de la voir. Elle avait dût plongé sous l'eau car je ne là voyait plus. En attendant qu'elle refasse surface, je commença à tremper mes pieds dans l'eau. C'est comme si je venais de me prendre une claque, celle-ci était plus glacé que jamais. Soudain je sentis des mains venant des profondeurs marine m'attraper les jambes, je laissa échapper un cris de peur. C'était évidemment Marie. Elle me prit dans ses bras. Je me demandais comment celle-ci pouvait me porter. Je n'étais quand même plus une enfant de 10 ans, je pesais quand même mon poids. Quoi qu'il en soit, elle n'avait pas l'aire gêné par ça, elle me portait même avec facilité. J'avais compris son manège, elle m'emmenait à un endroit ou il y avait assez d'eau pour qu'il ne me reste plus qu'à me mouiller entièrement. Je finis donc par lui céder. Celle-ci se mit à m'éclabousser en rigolant, une fois que je fus mouillé entièrement. « Alors, elle n'est pas belle la vie ? T'es toute mignonne les cheveux mouillés et en maillot de bain. » me dit-elle. Nous continuâmes à nous exclamer et à nous éclabousser en rigolant. Mais j'étais tracasser parce que j'allais devoir faire le lendemain. Et cela dût se voir sur mon visage car celle-ci changea l'expression de son visage. L'air un petit peu interrogateur. Il fallait que je lui dise, mais je ne savais pas comment m'y prendre. Je lui expliqua que j'avais un rendez-vous avec un réalisateur très réputé à Los Angeles le lendemain et que j'allais sans doute devoir déménager. Mon agent m'avait bien dit qu'une offre comme celle-ci ne se présente qu'une fois dans notre vie et que celle-ci était là et ne pouvait pas être décalé. C'était maintenant et je ne pouvais rien changer. Bien évidemment j'avais envie de la saisir, mais ce n'était pas si facile. J'avais vécu pendant des années ici. Je m'étais fait à "la pomme géante" alias New-York, j'avais des amis ici, un travaille sans oublier mes petites habitudes. Et puis un autre problème s'imposait. Et celui-ci je ne savais pas comment lui annoncer. Quelques mots sortir de ma bouche « Je l'aime, je ne peux pas... » et je fondis en larmes. Il y avait Gabriel, je l'aimais plus que tout et je ne pouvais pas le laisser ici. Il avait un travail et lui ne pouvais pas le quitter comme ça lui chantait.